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Nos absentes / Laurène DAYCARD (2023)
Titre : Nos absentes : A l'origine des féminicides Type de document : Ouvrage Auteurs : Laurène DAYCARD Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2023 Importance : 253 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-149381-8 Langues : Français (fre) Mots clés : COUPLE / DEUIL / FEMINICIDE / LEGISLATION / TRAITEMENT STATISTIQUE / VICTIME / VIOLENCE CONJUGALE / VIOLENCE FAMILIALE Index. décimale : F37.1 Violences conjugales Résumé : "Ces quinze dernières années, plus de 2 000 femmes ont été tuées par leur (ex-)conjoint en France. En 2020, 35 % des victimes de féminicide conjugal avaient subi des violences antérieures. Une défunte sur cinq avait porté plainte. Entre 2015 et 2016, 82 % des plaintes et mains courantes déposées par des victimes de féminicide ont été classées sans suite. (Source : ministère de la Justice.) Laurène Daycard a été l'une des toutes premières journalistes à écrire sur les féminicides conjugaux pour les faire sortir des rubriques "faits-divers" et les réinscrire dans le récit social et politique des violences sexistes." (extrait 4ème de couverture) Nos absentes : A l'origine des féminicides [Ouvrage] / Laurène DAYCARD . - Paris : Seuil, 2023 . - 253 p.
ISBN : 978-2-02-149381-8
Langues : Français (fre)
Mots clés : COUPLE / DEUIL / FEMINICIDE / LEGISLATION / TRAITEMENT STATISTIQUE / VICTIME / VIOLENCE CONJUGALE / VIOLENCE FAMILIALE Index. décimale : F37.1 Violences conjugales Résumé : "Ces quinze dernières années, plus de 2 000 femmes ont été tuées par leur (ex-)conjoint en France. En 2020, 35 % des victimes de féminicide conjugal avaient subi des violences antérieures. Une défunte sur cinq avait porté plainte. Entre 2015 et 2016, 82 % des plaintes et mains courantes déposées par des victimes de féminicide ont été classées sans suite. (Source : ministère de la Justice.) Laurène Daycard a été l'une des toutes premières journalistes à écrire sur les féminicides conjugaux pour les faire sortir des rubriques "faits-divers" et les réinscrire dans le récit social et politique des violences sexistes." (extrait 4ème de couverture) Les violences inaudibles / Julie ANCIAN (2022)
Titre : Les violences inaudibles : Récits d'infanticides Type de document : Ouvrage Auteurs : Julie ANCIAN Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2022 Collection : La couleur des idées Importance : 278 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-146572-3 Langues : Français (fre) Mots clés : ACCOUCHEMENT / AVORTEMENT SPONTANE / CRIME / FAMILLE / INEGALITE / INFANTICIDE / ISOLEMENT / LEGISLATION / NOURRISSON / PAUVRETE / RELATION ENFANT-MERE / RELATION ENFANT-PARENTS / VIOLENCE FAMILIALE Index. décimale : A65 Psychologie - Inadaptation sociale Résumé : "Comment une mère peut-elle tuer ses bébés ? Les cas d'infanticides font régulièrement la une des médias. Dans une société qui idéalise la maternité, les femmes qui tuent leur nouveau-né dans les heures qui suivent sa naissance font figure de monstres ou de folles. Cet ouvrage, fruit d'une longue enquête en prison et en cours d'assises, montre à rebours qu'il s'agit de crimes liés au contrôle de la fertilité plutôt qu'à des problèmes de santé mentale. S'appuyant sur les témoignages exceptionnels de femmes condamnées pour ces faits, l'auteure propose en effet une autre lecture de ces homicides. Elle montre que ces crimes sont liés à des situations de grande détresse : pauvreté, violences conjugales, isolement, absence de soutien familial... Contrairement à une idée répandue en France, l'accès aux services de planning familial, à une contraception efficace ou à un avortement, n'est pas garanti pour toutes les femmes. L'observation de procès, des entretiens avec des professionnels de justice et l'analyse d'archives journalistiques viennent compléter l'enquête et examiner en miroir la manière dont la société perçoit et juge ces crimes. Face à ces situations de détresse, le traitement judiciaire apparaît aveugle aux inégalités sociales et particulièrement indulgent envers les hommes violents ou ceux qui se moquent de féconder leur partenaire sans leur consentement. L'institution judiciaire qui se caractérise par ses biais de genre et de classe, perpétue un discours trompeur sur la libre disposition de leur corps dont bénéficieraient toutes les femmes. Ainsi, loin de dépeindre des figures monstrueuses, cette recherche dénonce les violences encore inaudibles qui pèsent sur les choix reproductifs des femmes."(4eme de couverture) Les violences inaudibles : Récits d'infanticides [Ouvrage] / Julie ANCIAN . - Paris : Seuil, 2022 . - 278 p.. - (La couleur des idées) .
ISBN : 978-2-02-146572-3
Langues : Français (fre)
Mots clés : ACCOUCHEMENT / AVORTEMENT SPONTANE / CRIME / FAMILLE / INEGALITE / INFANTICIDE / ISOLEMENT / LEGISLATION / NOURRISSON / PAUVRETE / RELATION ENFANT-MERE / RELATION ENFANT-PARENTS / VIOLENCE FAMILIALE Index. décimale : A65 Psychologie - Inadaptation sociale Résumé : "Comment une mère peut-elle tuer ses bébés ? Les cas d'infanticides font régulièrement la une des médias. Dans une société qui idéalise la maternité, les femmes qui tuent leur nouveau-né dans les heures qui suivent sa naissance font figure de monstres ou de folles. Cet ouvrage, fruit d'une longue enquête en prison et en cours d'assises, montre à rebours qu'il s'agit de crimes liés au contrôle de la fertilité plutôt qu'à des problèmes de santé mentale. S'appuyant sur les témoignages exceptionnels de femmes condamnées pour ces faits, l'auteure propose en effet une autre lecture de ces homicides. Elle montre que ces crimes sont liés à des situations de grande détresse : pauvreté, violences conjugales, isolement, absence de soutien familial... Contrairement à une idée répandue en France, l'accès aux services de planning familial, à une contraception efficace ou à un avortement, n'est pas garanti pour toutes les femmes. L'observation de procès, des entretiens avec des professionnels de justice et l'analyse d'archives journalistiques viennent compléter l'enquête et examiner en miroir la manière dont la société perçoit et juge ces crimes. Face à ces situations de détresse, le traitement judiciaire apparaît aveugle aux inégalités sociales et particulièrement indulgent envers les hommes violents ou ceux qui se moquent de féconder leur partenaire sans leur consentement. L'institution judiciaire qui se caractérise par ses biais de genre et de classe, perpétue un discours trompeur sur la libre disposition de leur corps dont bénéficieraient toutes les femmes. Ainsi, loin de dépeindre des figures monstrueuses, cette recherche dénonce les violences encore inaudibles qui pèsent sur les choix reproductifs des femmes."(4eme de couverture)